L’ennui radical : interruption nécessaire pour entendre l’inavouable
L’ennui radical ne creuse pas un vide, il déborde. Quand les repères s’effondrent, un silence dense s’installe, saturé de ce qui ne peut être dit. Ce moment suspendu, opaque et dérangeant, ouvre une brèche où le réel affleure brutalement, là où le fantasme cède sous le poids d’un désir encore informe.