Le désir comme moteur de nos actions et la dynamique du manque
Le manque insiste, jamais comblé, toujours relancé. Le désir s’y attache, court après des formes instables, des objets vides de ce qu’ils promettent. Dans une course sans fin, chaque choix révèle une absence plus qu’une possession. La société, elle, orchestre ce mécanisme avec précision, nourrissant l’illusion d’un plein qui n’arrive jamais.